Devenir franchisé O2, c’est avoir le choix entre plusieurs modèles pour entreprendre : créer une agence de toute pièce, reprendre une agence existante ou bien mixer les deux en ouvrant une agence sur une nouvelle zone tout en rachetant un petit portefeuille de clients et intervenants sur une zone à proximité. Cette dernière option, c’est le choix qu’à fait Rachel Cotte lorsqu’elle a ouvert son agence à Saint Marcellin.
Après avoir passé 18 ans en tant que responsable RH et assistante de direction dans une boulangerie industrielle, Rachel a choisi de donner un nouveau souffle à sa carrière en ouvrant une franchise O2. “Le secteur des services à la personne m’a toujours intéressé et j’y ai notamment été confronté lorsque j’ai dû m’occuper de mes grands-parents et trouver une solution de maintien à domicile. Passé 40 ans, j’avais envie de donner une nouvelle dimension à ma carrière via l’entrepreneuriat. Me lancer dans les services à la personne prenait alors tout son sens, je pouvais lier un métier humain tout en devenant chef d’entreprise”. C’est avec O2 que Rachel a choisi de se lancer dans l’aventure. La renommée nationale de l’enseigne, son savoir-faire et accompagnement sur un secteur réglementé, les valeurs véhiculées, les objectifs de l’entreprise ainsi que l’amélioration continue l’ont convaincu d’ouvrir une franchise avec le leader des services à la personne.
Après plusieurs mois d’accompagnement par un chargé de developpement franchise, Rachel a ouvert en mars 2020 son agence à Saint Marcellin, sur une nouvelle zone tout en rachetant un portefeuille de clients et de salariés existants. “L’avantage quand on achète un morceau d’une agence c’est qu’on peut démarrer plus vite son activité. Nous avons déjà des salariés formés, des clients qui font appel à nos services et la marque est connue sur le secteur. De plus, cela rassure aussi les banques et permet d’obtenir des financements plus facilement. En contrepartie, nous devons tout de suite faire nos preuves. Les clients en place ne doivent en aucun cas ressentir le changement.”
Grâce à la reprise d’une zone, Rachel bénéficie d’une clientèle et d’un chiffre d’affaires minimum garantie dès les premiers mois d’activité et pourra ainsi atteindre plus rapidement son point mort. En parallèle, elle sera aussi amenée à aller chercher de nouveaux clients, de nouveaux salariés, créer son réseau pour développer son activité sur la nouvelle zone de Saint Marcellin. Le bon compromis pour assurer un bon démarrage tout en relevant le défis de la création pure d’une agence.